« Je chante son élégance avec des paroles qui gémissent » Il devrait revenir aux écrivains de nous apprendre l’Histoire : eux seuls savent la présenter...

Verbatim
Depuis l'adolescence, j'ai pris l'habitude d'écrire aux auteurs que j'admire : le lien si particulier entre lecteur et écrivain m'a toujours paru précieux et singulier. Des lettres qui ont parfois débouché sur une correspondance assidue et m'ont permis de tisser une relation solide et complice avec de nombreux écrivains.
Ma très chère Anaïs,
Je suis bouleversée par votre texte…
Vous avez si bien retranscrit les émotions que je rêvais de transmettre avec mes petites phrases, mes chapitres si courts car d’autres se bousculaient. C’est émouvant de trouver sa lectrice, celle pour qui on a écrit. (...) C'est à mon tour de retenir mes larmes. Du fond du cœur et de ma Bretagne,
Merci !
Sylvie Le Bihan
Je suis très ému et touché par cet éloge. Pas pour de simples raisons narcissiques mais parce que je pense que le plus grand bonheur pour un écrivain est d'avoir été bien lu. Et vous m'avez parfaitement lu et compris. (...) et dernier point : votre titre est absolument parfait, c'est d'une justesse et d'une pertinence absolues.
Frédéric Bécourt
C'est une vraie somme. Vous embrassez toutes les dimensions du texte, en lui faisant crédit de beaucoup de choses, notamment de tout ce que je voulais y mettre sans être bien certain d'y être arrivé. Vous prétendez que si, mais je soupçonne votre talent de lectrice d'avoir pallié, avec beaucoup de générosité, les insuffisances de l'auteur.
Jean-Baptise de Froment
Chère Anaïs,
J'ai toujours pensé qu'on lisait moins qu'on ne "se" lisait (...) Rien ne peut davantage me toucher que la manière dont vous avez tendu la main à mon Olivier en tenant, dans l'autre, celle de votre frère, disparu et si présent. Merci de ce double geste, merci de cette lecture fraternelle.
Jérôme Garcin
Chère Anaïs,
Merci, merci, merci... Votre chronique sur mes sympathies est splendide, je crois que c'est l'un des plus beaux textes écrits sur ce livre, j'en suis bouleversée et admirative. Vous avez su trouver les mots justes, puissants, sensibles, généreux. Et n'oubliez pas que vous avez un talent fou !
Olivia de Lamberterie
Vous m'avez bien lu, chère Anaïs, et plus que cela, vous m'avez deviné.... Votre chronique est splendide et tellement bien vue. (...) C'est un honneur de se sentir lu d'aussi près et totalement ressenti et compris, je vous assure. Votre chronique m'a fait un bien fou, en cela qu'elle me rassure.
Serge Joncour